Essai 3eme partie
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Essai 3eme partie
Fragilité,
L’épaisseur du cuir qui me recouvre équivaut à une couche de vernis sur une peinture
Méchanceté,
La haine qui m’habite vaut le volant d’une voiture…mais elle est là, elle sert à diriger
Hypocrisie,
Elle recouvre la terre comme le feu recouvre le soleil
Mensonge
On baigne dedans, nous sommes couverts de sang
Beauté,
Artificielle, irréelle, tentatrice et mortelle
Chaleur
Comme une lumière lorsqu’il fait noir, une couverture lorsqu’il fait froid ou un être aimé lorsqu’on a mal
Peine
Tristesse et mélancolie pour les gens les plus démunis face à la rudesse de la vie et la brutalité de l’être
Délivrance
Pas encore
Le maître danse, n’est pas encore en transe, il se cherche, se trouve et se sème dans les parois de son cœur par lequel il demeure sans savoir pour quoi pour qui, ce n’est même pas pour lui-même il s’imagine qu’il n’est pas le seul, et qu’on est des milliards, c’est peu dire ! Comment fait-il pour inventer un tel mensonge, ce n’est pas à nous qu’il ment c’est à lui-même.
Ah ça l’amuse, il n’est pas atteint, à trop grande échelle la souffrance se restreint, mais je sais que tu comprends ce que je dis, et pourquoi aujourd’hui tu es ici, et tu lis mes mots un à un en faisant pour de faux, comme si de rien, t’as pas envie d’aller plus loin, c’est trop compliqué et les dés sont jetés.
Si tu veux, tu peux t’arrêter là.
Le jeu est fini on remballe tout,
T’as perdu la partie et tu voudrai la belle
Mais elle ne veut plus de toi, tu l’as trop dégoûté tu vois.
A vouloir jouer avec le feu tu t’es brûler les ailes que tu n’avais pas, et là tu n’as plus aucun espoir de la voir revenir en surface, elle préfère nager dans les profondeurs de son âme à elle, car la tienne suinte et pourri petit à petit.
C’est dommage, t’allais presque jusqu’aux nuages, mais avec un avion bien sûr, pas avec ton esprit, c’est trop demandé.
Faut chercher, chercher la solution à tous nos problèmes, mais la solution c’est qu’il fallait y penser avant, c’est pas quand c’est trop tard qu’il faut réagir.
Maintenant t’as plus le choix et tu laisse les gens mourir, tu t’en fou t’es pas concerné, c’est pas tes oignons, et t’as même pas pitié, c’est bien fait pour eux, ils avaient qu’à pas exister…
Et toi ?
Toi tu crois que tu vaux mieux que ça ?
Pourquoi tu ne subirais pas, ce que tu leur fais endurer ?
Tu crois que parce que tu as les dés, tu ne seras pas touché.
Je t’ai dis, je n’ai rien à perdre.
Par contre j’ai tout à gagner.
Je t’aurai, et si tu n’as pas voulu te réveiller jusqu’ici, moi je te réveillerai pour le feu d’artifice, pour que tu vois la fin de notre beau roman, et que tu comprenne enfin à quel point tu te mens.
L’homme n’est pas homme
Je te le redirai plus tard…
La Femme est la créatrice.
L’épaisseur du cuir qui me recouvre équivaut à une couche de vernis sur une peinture
Méchanceté,
La haine qui m’habite vaut le volant d’une voiture…mais elle est là, elle sert à diriger
Hypocrisie,
Elle recouvre la terre comme le feu recouvre le soleil
Mensonge
On baigne dedans, nous sommes couverts de sang
Beauté,
Artificielle, irréelle, tentatrice et mortelle
Chaleur
Comme une lumière lorsqu’il fait noir, une couverture lorsqu’il fait froid ou un être aimé lorsqu’on a mal
Peine
Tristesse et mélancolie pour les gens les plus démunis face à la rudesse de la vie et la brutalité de l’être
Délivrance
Pas encore
Le maître danse, n’est pas encore en transe, il se cherche, se trouve et se sème dans les parois de son cœur par lequel il demeure sans savoir pour quoi pour qui, ce n’est même pas pour lui-même il s’imagine qu’il n’est pas le seul, et qu’on est des milliards, c’est peu dire ! Comment fait-il pour inventer un tel mensonge, ce n’est pas à nous qu’il ment c’est à lui-même.
Ah ça l’amuse, il n’est pas atteint, à trop grande échelle la souffrance se restreint, mais je sais que tu comprends ce que je dis, et pourquoi aujourd’hui tu es ici, et tu lis mes mots un à un en faisant pour de faux, comme si de rien, t’as pas envie d’aller plus loin, c’est trop compliqué et les dés sont jetés.
Si tu veux, tu peux t’arrêter là.
Le jeu est fini on remballe tout,
T’as perdu la partie et tu voudrai la belle
Mais elle ne veut plus de toi, tu l’as trop dégoûté tu vois.
A vouloir jouer avec le feu tu t’es brûler les ailes que tu n’avais pas, et là tu n’as plus aucun espoir de la voir revenir en surface, elle préfère nager dans les profondeurs de son âme à elle, car la tienne suinte et pourri petit à petit.
C’est dommage, t’allais presque jusqu’aux nuages, mais avec un avion bien sûr, pas avec ton esprit, c’est trop demandé.
Faut chercher, chercher la solution à tous nos problèmes, mais la solution c’est qu’il fallait y penser avant, c’est pas quand c’est trop tard qu’il faut réagir.
Maintenant t’as plus le choix et tu laisse les gens mourir, tu t’en fou t’es pas concerné, c’est pas tes oignons, et t’as même pas pitié, c’est bien fait pour eux, ils avaient qu’à pas exister…
Et toi ?
Toi tu crois que tu vaux mieux que ça ?
Pourquoi tu ne subirais pas, ce que tu leur fais endurer ?
Tu crois que parce que tu as les dés, tu ne seras pas touché.
Je t’ai dis, je n’ai rien à perdre.
Par contre j’ai tout à gagner.
Je t’aurai, et si tu n’as pas voulu te réveiller jusqu’ici, moi je te réveillerai pour le feu d’artifice, pour que tu vois la fin de notre beau roman, et que tu comprenne enfin à quel point tu te mens.
L’homme n’est pas homme
Je te le redirai plus tard…
La Femme est la créatrice.
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